En 2025, la 10ème édition de PlayTime réunit 30 cinémas associatifs de Loire-Atlantique autour d’une programmation resserrée : 8 films qui mettent en avant les cinémas comme lieux culturels, lieux de rencontres. Et, comme un écho, les cinémas associatifs ouvrent leurs portes : visites des cabines de projection, rencontre avec les équipes bénévoles et salariées, expositions…
Le cinéma Pax est très heureux de prendre part à ce temps fort qui célèbre la diversité cinématographique du département, avec au programme :
• sam 5 avril de 10:30 à 12:30 > une matinée portes ouvertes > rencontre avec les bénévoles, visite des coulisses, projection de courts métrages jeunesse, moment convivial ;
• sam 5 avril à 20:00 > une conversation documentée avec le directeur du cinéma sur le thème « un cinéma associatif Art & Essai au Pouliguen » (entrée libre) ;
• sam 5 avril à 20:45 > Spectateurs ! de Arnaud Desplechin
En forme d’enquête sur l’essence du cinéma et sur le rapport qu’Arnaud Desplechin entretient avec les films depuis son enfance, Spectateurs ! met en scène le cinéaste à diverses époques de son parcours cinéphilique, proposant ainsi une matière partagée entre reconstitution autobiographique, questionnements au présent et irruption d’extraits de films. Si la présence de Paul Dedalus comme alter ego du réalisateur résonne avec l’ensemble de sa filmographie, c’est sur un espace fondateur d’une vocation qu’est centré Spectateurs ! : la salle de cinéma, lieu de tous les émerveillements, sanctuaire des émotions les plus intenses.
• lun 7 avril à 20:45 > Le Cinéma, Monique et moi + en présence de Julie Rambaud, réalisatrice
Le cinéma, c’est à Paimbœuf, une façade murée qui cache les vestiges d’un ancien cinéma, Le Français. Monique, c’est Monique Crusson, fille des fondateurs du cinéma, et qui, comme eux, lui a consacré une grande partie de sa vie. Moi, c’est Julie Rambaud, co- fondatrice de La Boîte carrée – une association qui propose notamment du cinéma ambulant et déambulant – et réalisatrice qui nous fait découvrir cette histoire d’un cinéma bien présent dans la mémoire collective locale. Son film vient rappeler qu’au-delà de la salle, le cinéma traverse et relie des vies, et que les cinémas sont des lieux qui résonnent avec l’espace public.